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Heureusement il y a Marcel, Marcel (Fin
d'Husse)
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Acoustic
Marcel
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e-mail: jerryleemarcel@sfr.fr
Phone: +33 6 08 01 20 90
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Courrier:
Jerry Lee Marcel
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c/o El
Camino Productions
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21 rue
d'Enfer
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77181
LE PIN
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Ma
vie à moi c'est la musique (Robert Charlebois)
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- 8
à 12 ans, Sidney Bechet, Louis Armstrong, Arthur Smith
(Guitar boogie), les Platters et enfin
Rock
Around the Clock:
premier
trou dans la tête!
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12 ans,
les Chaussettes
Noires,
Salut les Copains, le yéyé, les Shadows:
deuxième
trou dans la tête
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14 ans,
par hasard un matin sur Europe 1, Eddie
Cochran;
troisième trou dans la tête, mais là
grave, je ne m'en suis jamais remis.
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Un an
après, j'avais encore des séquelles et j'ai eu
une rechute avec Love
me do
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Mais
aussi, poste à galène, boîte de Noël
du petit électronicien, et après çà,
une seule idée en tête: faire un métier
qui concilie mes deux passions.
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16 ans,
première guitare fabriquée dans le sous-sol du
pavillon familial. Premiers groupes aussi, avec Bernard
Dimet.
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Le bac,
le diplôme d'ingénieur, la coopération en
Algérie - grosse exposition au jazz, en particulier
avec Fred Heiterer, un pianiste autrichien qui avait fait ses
études musicales avec Joe Zawinul.
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Premier
job chez Esart,
fabricant aujourd'hui disparu de Hi-Fi haut de gamme.
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Deuxième
job, au culot je vais chez RED,
constructeur de consoles et installateur de studios
d'enregistrement. C'est là que je tisse des liens avec
les ingénieurs du son et propriétaires de
studio de cette époque.
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Troisième
job, les studios
Barclay,
avenue Hoche. Parallèlement je monte un studio dans la
cabane au fond du jardin.
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Le
studio se développe, je rencontre les gens qui
deviendront mes associés, et on crée SCV
Audio en
1978. 20 ans après, SCV est une multinationale leader
dans son secteur.
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Et là,
le virus qui se tapissait sournoisement frappe sauvagement;la
rencontre avec Gérard Lavigne est déterminante:moi
aussi, je veux aller jouer dans les clubs, me ruiner les
poumons dans la fumée, boire de la bière et
rentrer tard, me faire engueuler par ma compagne parce que je
reste au pieu au lieu d'aller faire les courses. Et là,
la réalité frappe durement: il faut que je
bosse la guitare, que j'ai un peu trop délaissée
pendant toutes ces années.
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Au
hasard du Pariscope, je vais au Front Page pour une
jam-session. J'y fais deux rencontres déterminantes:
Patrice
Boudot-Lamot,
qui au bout d'un an sort de sa réserve proverbiale
pour me dire à sa façon qu'il aime bien ce que
je fais, et Amar
Sundy,
qui lui aussi m'encourage, mais de façon plus
volubile.
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La
troisième rencontre significative est celle de Jacques
Fichelle,
le sombre hérault de l'Utopia,
qui me programme dans ce club mythique alors que je n'ai pas
de musiciens et pas de répertoire.
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Le
quatrième larron est Jacky
Meunier,
le picaresque fondateur du Baryton,
avec qui les choses s'envenimeront au point de lui succéder
lorsqu'il décide de s'en aller pour prendre un repos
bien mérité.
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